jeudi 30 janvier 2014

SOUS LE VENT CÉLINE DION ET GAROU



Et si tu crois que j'ai eu peur
C'est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j'ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d'or
Qui me pousse en avant
Et

Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)

Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers

Et si tu crois que je t'oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et

Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
(Sous le vent)

Et si tu crois que c'est fini
Jamais
C'est juste une pause un répit
Après les dangers

Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
(j'ai glissé sous le vent)
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant

Fais comme si j'avais pris la mer
J'ai sorti la grand voile
Et j'ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J'ai trouvé mon étoile
Je l'ai suivie un instant
Sous le vent

Sous le vent

LA PLUIE ZAZ



Le ciel est gris la pluie s'invite comme par surprise
elle est chez nous et comme un rite qui nous enlise
les parapluies s'ouvrent en cadence
comme une danse,
les gouttes tombent en abondance
sur douce France.

Tombe tombe tombe la pluie
en ce jour de dimanche de décembre
à l'ombre des parapluies
les passants se pressent pressent pressent sans attendre

On l'aime parfois elle hausse la voix elle nous bouscule
elle ne donne plus de ses nouvelles en canicule
puis elle revient comme un besoin par affection
et elle nous chante sa grande chanson
l'inondation

Tombe tombe tombe la pluie
en ce jour de dimanche de décembre,
à l'ombre des parapluies
les passants se pressent, pressent, pressent sans attendre

Tombe tombe tombe la pluie
en ce jour de dimanche de décembre
à l'ombre des parapluies
les passants se pressent pressent pressent sans attendre

et tombe et tombe et tombe, tombe
et tombe et tombe et tombe…